Sur un lit de sobriété musicale se dégage le sacré du texte bouddhiste qui invite à la réunion des êtres de par l’empathie et la tolérance. De premières saveurs délicates et suaves se concluent par une prière, interprétée par les ténors Manuel Bourget, Patrick Larose, Andres De Castro et Marin Paiement. Le corps puissant propose un final en apothéose, relevé par le jeu de la pianiste Mélanie Cullin. Confectionné par la compositrice Lili Boulanger (1893 – 1918) sur un texte provenant du Visuddhimagga.